Rival Sons

Rival Sons joue du rock ‘n’ roll dans sa forme la plus pure, sans excuses ni prétention. Au lieu de cela, ils se contentent de suivre leur propre voie. En chemin, ils ont construit un catalogue acclamé par la critique, comprenant Pressure & Time [2011], Head Down [2012], Great Western Valkyrie [2014], Hollow Bones [2016], et FERAL ROOTS [2019]. Ce dernier décroche deux nominations aux GRAMMY® Awards dans les catégories « Meilleur album rock » et « Meilleure performance rock » pour le single « Too Bad ». Élevant le groupe à un autre niveau, « Do Your Worst » s’est hissé à la première place des radios rock et est devenu leur plus grand succès à ce jour, avec plus de 60 millions de streams. En ce qui concerne leur impact, Rolling Stone a déclaré : « Rival Sons a fait sa part pour faire découvrir le rock à de nouveaux fans ». En plus d’avoir partagé la scène avec Black Sabbath, The Rolling Stones, AC/DC, Guns N’ Roses et Lenny Kravitz, ils ont enflammé des émissions de télévision telles que The Late Late Show with James Corden. En 2021, ils ont lancé leur propre label Sacred Tongue Recordings, distribué par Thirty Tigers, et ont célébré le dixième anniversaire de Pressure & Time en interprétant l’album dans son intégralité lors d’une tournée. En fin de compte, Rival Sons n’est pas là pour vous dire ce qu’il faut penser ou ressentir, mais ils vous feront vivre une sacrée aventure si vous les laissez faire. Ce tour de manège électrique se transforme comme jamais auparavant sur leur septième album de 2023, DARKFIGHTER [Low Country Sound / Atlantic Records], dont le coup d’envoi a été donné par le single « Nobody Wants to Die ». « Je considère DARKFIGHTER comme une longue saga de deux ans », explique Jay. « L’album représente la mitose culturelle de l’isolement, la pandémie et le tissu national des États-Unis qui devient de plus en plus lâche. Mais il n’y a rien qui parle ouvertement des conneries qui se sont produites. Quand je parle de « mitose culturelle », je pense que des lignes sont constamment tracées. Je ne pense pas que nous ayons jamais connu un tel climat. De quel côté se situe-t-on ? Nous sommes tellement divisés, et vous ne pouvez pas dépasser les limites sans offenser quelqu’un. Cela a certainement influencé mon écriture ». Tout au long de cette saison, Jay et Scott ont échangé des idées à distance jusqu’à ce qu’il soit possible de collaborer en personne. D’innombrables sessions à domicile ont suivi en Californie du Sud. Au milieu de ce long processus d’écriture, ils se sont rendus par intermittence à Nashville pour enregistrer avec le producteur de longue date Dave Cobb, afin d’assembler l’album avec soin. « Nous avons passé plus de temps sur DARKFIGHTER que sur n’importe quel autre album que nous avons fait », poursuit Scott. « Il y avait plus d’émotion, de passion, de réflexion et de cœur dans les chansons »