

À propos
Non Arnaud Askoy n’est pas Brel mais à l‘entendre, à le voir on pourrait y croire. Arnaud donne chair avec sincérité au Grand Jacques.A l’image des arrangements originaux de Roland Romanelli, sur scène avec son complice Jean-Philippe Audin au violoncelle, c’est bien la flamme personnelle d’Arnaud Askoy, cette charge émotionnelle, généreuse, qui doit venir nous bouleverser, faire naître une magie comparable à celle de l’époque, comme une toile impressionniste vivante. Telle est la promesse : « Ceci n’est pas Brel ! » aurait dit Magritte, laissez-vous faire… // 1ère partie : Un retour au music-hall des années 60